Nicolas Sarkozy et Michèle Alliot-Marie auprès des gendarmes
Les deux ministres arriveront à 11h00 à l'hôpital Rangueil, a-t-on précisé à la préfecture de la région Midi-Pyrénées.
Après avoir salué la dépouille du sous officier Frédéric Mortier, 35 ans, les ministres iront visiter dans leur chambre les deux autres membres du GIGN qui ont été blessés, dont un grièvement, au cours de l'intervention.
Le Premier ministre, Dominique de Villepin, a exprimé sa "grande émotion et sa tristesse après la douloureuse épreuve" qui a frappé cette unité d'élite. "L'engagement quotidien de la gendarmerie nationale et du GIGN en particulier, méritent la reconnaissance de la Nation", écrit-il dans un communiqué.
Vendredi, vers 10 heures, un retraité âgé de 66 ans s'était retranché dans sa maison située à Gensac, dans la périphérie de Saint-Gaudens, au sud de la Haute-Garonne.
En début d'après-midi, les gendarmes du GIGN appelés en renfort ont pris position autour de la bâtisse où le forcené refusait tout dialogue.
Vers 16 heures, ce dernier a grièvement blessé à l'épaule l'un des gendarmes qui tentait de s'approcher de la maison.
Vers 22 heures, l'homme ayant à nouveau refusé tout contact, décision a été prise de donner l'assaut de la maison. Mais un gendarme a été tué et un autre a été blessé par le retraité, qui a été ensuite maîtrisé.
Placé en garde à vue, l'homme devra répondre des chefs de "tentatives d'homicides multiples et également assassinat", a indiqué à la presse le procureur de la République Paul Michel, soulignant qu'il était passible de poursuites devant la cour d'assises.
Le forcené, qui a des antécédents psychiatriques, a été décrit par des habitants du village comme "un homme gentil" bien qu'il ait déjà eu des crises de même nature.
Après avoir salué la dépouille du sous officier Frédéric Mortier, 35 ans, les ministres iront visiter dans leur chambre les deux autres membres du GIGN qui ont été blessés, dont un grièvement, au cours de l'intervention.
Le Premier ministre, Dominique de Villepin, a exprimé sa "grande émotion et sa tristesse après la douloureuse épreuve" qui a frappé cette unité d'élite. "L'engagement quotidien de la gendarmerie nationale et du GIGN en particulier, méritent la reconnaissance de la Nation", écrit-il dans un communiqué.
Vendredi, vers 10 heures, un retraité âgé de 66 ans s'était retranché dans sa maison située à Gensac, dans la périphérie de Saint-Gaudens, au sud de la Haute-Garonne.
En début d'après-midi, les gendarmes du GIGN appelés en renfort ont pris position autour de la bâtisse où le forcené refusait tout dialogue.
Vers 16 heures, ce dernier a grièvement blessé à l'épaule l'un des gendarmes qui tentait de s'approcher de la maison.
Vers 22 heures, l'homme ayant à nouveau refusé tout contact, décision a été prise de donner l'assaut de la maison. Mais un gendarme a été tué et un autre a été blessé par le retraité, qui a été ensuite maîtrisé.
Placé en garde à vue, l'homme devra répondre des chefs de "tentatives d'homicides multiples et également assassinat", a indiqué à la presse le procureur de la République Paul Michel, soulignant qu'il était passible de poursuites devant la cour d'assises.
Le forcené, qui a des antécédents psychiatriques, a été décrit par des habitants du village comme "un homme gentil" bien qu'il ait déjà eu des crises de même nature.